Ce que je sais de Vera Candida de Véronique Ovaldé

Un endroit imaginaire qui pourrait être quelque part en Amérique du Sud. L’histoire commence avec la rencontre de Rose Bustamente, ancienne pute, devenue pêcheuse de poissons volants. Lorsque qu’on fait la connaissance de Rose, elle a 40 ans et malgré son ancien métier, elle n’a jamais eu d’enfant jusqu’ici. Elle fait la connaissance de Jeronimo qui fera de Rose sa captive. Lorsque Rose comprend qu’elle est enceinte, elle réussit à s’enfuir.

Elle élèvera seule sa fille et par la suite sa petite fille. Jusqu’au jour où celle-ci quitte le village et un destin tracé à l’avance.

J’ai particulièrement aimé les personnages de Vera Candida et de Itxaga. Des êtres humains faisant la démonstration de leurs forces, leurs faiblesses, leurs souffrances, et cachant bien leurs secrets… L’histoire d’un amour qui transcende le quotidien.

Ce que je sais de Vera Candica, Véronique Ovaldé, Éd. de l’Olivier, 2009, 292 p.

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Au-delà du mal de Shane Stevens

États-Unis, 1973. À 10 ans, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique après avoir assassiné sa mère. 15 ans plus tard, il s’échappe. Commence alors pour lui, un périple meurtrier à travers les États-unis qui va le mener à New York. Il sème les cadavres de femmes sur son passage. Une véritable machine à tuer. D’un côté, les policiers ne savent plus où donner de la tête, de l’autre, Adam Kenton, journaliste d’investigation trace petit à petit le profil du tueur. Le piège se referme lentement mais sûrement….

Ce roman écrit en 1979 par un américain (Shane Stevens) probalement un pseudonyme,  aussi incroyable que cela puisse paraître, n’avait jamais été traduit en français avant 2009. Son auteur a écrit 5 romans entre 1966 et 1981 avant de disparaître dans l’anonymat. Ce thriller nous fait pénétrer dans l’imaginaire tordu du tueur en série. Il fait d’ailleurs école dans le genre.  L’écriture fluide et moderne, le talent de conteur de l’auteur en fait un roman qui a très bien vieilli. Bonne brique de 760 pages! Cela explique en partie mon silence des dernières semaines! Sans parler des olympiques!! A bientôt!

Au-delà du mal, Shane Stevens, Sonatine, 2009, c1979, 758 p.

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Cité d’or de Chinatown

Le 31 janvier dernier, j’ai assisté au spectacle de Cegep en spectacle (Cegep de St-Hyacinthe). La deuxième partie du spectacle était assurée par le groupe rock québécois Chinatown.

Une belle et heureuse surprise pour moi et les gens qui m’accompagnaient! On cherchait à quoi cela nous faisait penser. Un peu Indochine, un peu Pierre Lapointe…pour ma part, j’avais l’impression d’avoir fait un bond en arrière et de me retrouver dans un univers rock français (France)  des années soixante. Vraiment bon! Le chanteur principal valait le spectacle à lui seul. Quel danseur! Je vous le conseille aussi en voiture! Attention par contre, aux excès de vitesse!…

Cité d’or, de Chinatown, Tacca musique, 2008.

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