2006. La Nouvelle-Orléans. La fille du gouverneur de la Louisiane est enlevée. On n’est sans nouvelles des ravisseurs depuis une semaine, aucunes pistes, aucuns indices. L’affaire est très vite remise entre les mains du FBI, mais c’est toujours l’impasse. Jusqu’au moment où l’agent Schaeffer reçoit un appel téléphonique du ravisseur, lui demandant de retrouver Ray Hartmann et de le ramener à La Nouvelle-Orléans d’ici 24 heures.
Commence alors un récit captivant. Un récit sur l’histoire de la mafia des années 50 à nos jours, à travers le récit personnel et pleins d’horreurs d’un homme de main de cette mafia. Mais que veut vraiment cet homme? Manipulation, vengeance?…
Pour la deuxième fois en autant de romans, R.J. Ellory m’a ébloui! Quelle maitrise de l’écriture, quel souffle!!! J’avais adoré son premier roman. Il en est de même pour celui-ci. J’ai été subjugée! Ces personnages sont magnifiques. Quelle profondeur! La traduction est aussi excellente!
Par contre, j’ai un bémol. J’ai toujours beaucoup aimé les histoires de mafia américaine. « Le Parrain, 1,2,3 », « Les Sopranos », ce qui m’a permise d’entrer très facilement dans ce récit. Si ce « milieu » ne vous intéresse pas, vous pourriez peut-être, je dis bien « peut-être » trouver ce roman un peu long. Mais si non, faites comme moi, laissez-vous emporter!
Dans un premier billet sur R.J. (Roger Jon) Ellory, j’ai commis une erreur. L’auteur n’est pas américain, il est britannique.
Quand j’ai lu ce livre en 2009, j’ignorais qu’il se retrouverait en lice dans le prix des libraires du Québec 2010. Il y mérite bien sa place!
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